Après le scandale du colosse cosmétique japonais Kanebo, dont les crèmes éclaircissantes ont provoqué des problèmes considérables sur la peau de très nombreux consommateurs asiatiques, il est naturel de se demander quel est le rapport bénéfice-risque impliqué par l'application d'une Crème éclaircissante.
Parmi les composants accusés de plus de 450 mille crèmes retirées du marché, il y aurait l'écorce de bouleau blanc. Cependant il n'a pas encore été établi qu'il s'agit bien là du coupable ayant provoqué démangeaisons, picotements et taches blanches. Pour traiter les imperfections de la peau (en laissant de côté les produits purement cosmétiques de type Kanebo et en se tournant vers l'univers de la dermatologie professionnelle) cela fait plus de dix ans qu'un produit à base de péroxyde de benzoyle est utilisé. Il s'agit d'une molécule qui agit sur l'hyperpigmentation et qui, à la différence de l'hydroquinone (retirée du marché en raison de sa toxicité et de son action irritante), ne provoque pas d'effets secondaires.
Les personnes traitées avec des crèmes à base de péroxyde de benzoyle ont obtenu de bons résultats avec une absence totale d'effets secondaires importants, à savoir notamment rougeur, sensation de brûlure et irritation.
Et ce n'est pas tout, K5® Lipogel (le nom du produit) s'est révélé efficace dans le traitement des taches de rousseur et des cicatrices laissées par l'acné. L'action éclaircissante de K5® Lipogel passe également par l'utilisation d'acide salicylique ayant une légère action exfoliante, permettant d'accélérer et de favoriser le phénomène de dépigmentation du péroxyde de benzoyle. Comme l'explique les dermatologues qui l'utilisent depuis toujours sur leurs patients, pour obtenir des résultats satisfaisants, la crème doit être appliquée pendant trois mois consécutifs, une à deux fois par jour, en fonction de la taille de la tache.